tout est perdu par Victor Malzac
tout est perdu mon père
dans sa cabane
grosse un gros
vieillard
maintenant. la douleur
qui le mâche en premier.
mon père, ma mère
et mes aïeux
perdus. comme des
peluches de gosse.
ne reste rien que des restes
et moi. avec
autour les murs au pied des herbes
pâteuses,
et le reste bourré de terre
qui souffle un air aride
maintenant.