L'bon mâtineur des grands cloqués. par Kevin Orr
Je suis bien jeune ... et déjà tout dévissé du tronc d'la rate et des trognons ralala bien bien Ralala ! Je marche barbe au temps rond dans la figue et sème ma tûte au vent ... Tartine à l'air de ma bedaine ! Je suis malade de l'ombre où tombe ( Eventré des pestes j'en ai vu ! ) l'être de messes aux os portuaires ... Et j'ajoute un grelot entêté dans l'algue ( à l'angle d'la rue Paul Bert ) ! J'ai ami otique le fantasme d'un r'tour à la gifleuse... au bordel du naître j'tais l'fanfaron des tribuns, le pharaon des gueux... pensez donc il disait « j'ai vingt ans, je ne je ne laisserai personne... » C'est mon r'tour au bercail quoi, aux gorges des scieries... A l'éponge craquée d'origine aux matins des branchies ... Sonnez sonnez mâtines frères des Jacqueries j'ai fini ... ad'venu c'tait fait déjà ... C'est aux matins ... la ville huître ses portes tu vois finalement ... Resserrés du citron les malins, dans des errements... mitrons ! (C'est du tout chuchoté), (j'arrive dépecé d'bien des âges) C'est au mâtin... ça teinte à bascule, ça surine, ça tète aux filaments ! Quoi q'y disent moi ça ç'pas fini... y'en est pris de caves et des cavernes encore qu'ont pas sucé maintenir ... y'en est y'en est pris plus qu'nourri s'imagine... un abysse est violable allons voir nous y voir : Corbeau pénètre un rat ; le vent suce un grillon.