02 oct.
2005
Le nouveau site du cipM et le colloque d'octobre 2005
Il était urgent de reprende ce site sur une bonne base (php) et d'en améliorerla souplesse, le jeune webmaster Erwan Lefèvre l'a fait avec beaucoup de professionnalisme, tout en respectant cette esthétique minimaliste un peu austère qui fait tout le charme du cipM.
http://www.cipmarseille.com/
Le colloque aura au moins eu l'intérêt de donner le maximum d'échos à cette opération auprès des sites les plus concernés ; sur le plan de l'élaboration théorique, ce fut moins brillant en dépit des efforts répétés de Philippe Boisnard (parfois survitaminé) et de la sagacité plus tranquille de Julien D'Abrigeon ou David Christoffel.
Peut-être est-ce parce que, comme l'a souligné Isabelle Aveline de Zazie.web, l'histoire de l'Internet n'est pas encore écrite ? La table ronde animée par celle-ci, avec Florence Trocmé (Poezibao), Pierre Ménard (Marelle), Céline Hémon (Le Printemps de Poètes), Angélique Piéri(répertoire de poésie) et l'éditeur Paul Otchakovsky-Laurens, fut de loin la plus passionnante : il y avait moins de nombrils attablés !.
Philippe Castellin et Jean Torregrosa (qui ressemble de plus en plus à Blaine), ont failli ne pas pouvoir franchir le barrage corse ; du coup, ils ont économisé les envois du service de presse du dernier numéro de Do(c)ks.
Dominique Meens aurait bien aimé tenir le rôle du bouffon, il a d'abord envoyé quelques mails en direct, tournant le dos au public puis il a fait l'âne mais, trop pédagogue, il a ensuite tenu à expliquer pourquoi selon lui IL FAUT braire pour finir par s'enfoncer dans un grave flip noir.
Les marseillais se sont montrés très hospitaliers (équipe du cipM Ponsart en tête, toujours très pro, Véronique Vassiliou et Nicolas Tardy de la revue x).
Un peu de public mais des gens pas forcément investis dans le web dont Antoine Simon ou Florence Pazzottu qui arrête Petite, (dommage !) ou le très discret Ludovic Bablon. Pas mal de jeunes très prometteurs dont Loïc Robin venu de Rennes, Samuel Rochery et Guillaume Fayard, une génération qui semble se singulariser par une très juste droiture, c'est-à-dire autant par leur éthique que leur esthétique.
Pour la présence de sitaudis, il faudra aller voir ailleurs.
Finalement, celui dont on a le plus parlé dans les allées de la Vieille Charité fut le grand absent Antoine Hummel (et autres pseudos plus ou moins identifiés), auteur du coup le plus discret de l'histoire du web et de textes dont tout le monde reconnaît la qualité : mais était-il réellement absent ou se cachait-il sous l'une des identités ci-dessus repérées ?!
http://www.cipmarseille.com/
Le colloque aura au moins eu l'intérêt de donner le maximum d'échos à cette opération auprès des sites les plus concernés ; sur le plan de l'élaboration théorique, ce fut moins brillant en dépit des efforts répétés de Philippe Boisnard (parfois survitaminé) et de la sagacité plus tranquille de Julien D'Abrigeon ou David Christoffel.
Peut-être est-ce parce que, comme l'a souligné Isabelle Aveline de Zazie.web, l'histoire de l'Internet n'est pas encore écrite ? La table ronde animée par celle-ci, avec Florence Trocmé (Poezibao), Pierre Ménard (Marelle), Céline Hémon (Le Printemps de Poètes), Angélique Piéri(répertoire de poésie) et l'éditeur Paul Otchakovsky-Laurens, fut de loin la plus passionnante : il y avait moins de nombrils attablés !.
Philippe Castellin et Jean Torregrosa (qui ressemble de plus en plus à Blaine), ont failli ne pas pouvoir franchir le barrage corse ; du coup, ils ont économisé les envois du service de presse du dernier numéro de Do(c)ks.
Dominique Meens aurait bien aimé tenir le rôle du bouffon, il a d'abord envoyé quelques mails en direct, tournant le dos au public puis il a fait l'âne mais, trop pédagogue, il a ensuite tenu à expliquer pourquoi selon lui IL FAUT braire pour finir par s'enfoncer dans un grave flip noir.
Les marseillais se sont montrés très hospitaliers (équipe du cipM Ponsart en tête, toujours très pro, Véronique Vassiliou et Nicolas Tardy de la revue x).
Un peu de public mais des gens pas forcément investis dans le web dont Antoine Simon ou Florence Pazzottu qui arrête Petite, (dommage !) ou le très discret Ludovic Bablon. Pas mal de jeunes très prometteurs dont Loïc Robin venu de Rennes, Samuel Rochery et Guillaume Fayard, une génération qui semble se singulariser par une très juste droiture, c'est-à-dire autant par leur éthique que leur esthétique.
Pour la présence de sitaudis, il faudra aller voir ailleurs.
Finalement, celui dont on a le plus parlé dans les allées de la Vieille Charité fut le grand absent Antoine Hummel (et autres pseudos plus ou moins identifiés), auteur du coup le plus discret de l'histoire du web et de textes dont tout le monde reconnaît la qualité : mais était-il réellement absent ou se cachait-il sous l'une des identités ci-dessus repérées ?!