Le contraire par Homalyos Zoltan
1848. 18h48. Et après. Et maintenant ? Et après l'après, la commune. Il n'y a jamais eu de suivi. La survie sans suivi. Pas de calculs d'écarts, par d'écarts autres que l'insoluble dans le liquide. Le couple de réels. Un livre entier, une constitution d'herbes et de notes géométriques. Je bois et je ne laisse pas les muscles. C'est-à-dire. Le partage de l'édifice est si partagé qu'il n'existe pas en tant que partage. Le morcellement n'est pas quelque chose de souple. La nuit est celle-ci. Nommée toute la nuit celle-ci.
Le supplément de mort d'où ne rentre pas et ne sort pas, et usée ma patience rapide. Je vais attendre Pétöfi * à la gare périphérique. J'embrasserais ses mains lourdes de terre de tombe, lui cracherais dessus affectueusement pour ses écrits morveux, quand bien même j'aimerais partager avec lui un rapide verre de liqueur de cerise. Je l'informerais des séparations entre les totalitaires et les fascistes, entre les humanistes et les progressistes, entre les historiens et les présents-contemporains-présent, entre les répondants à la valeur de quoi et les silencieux à bruyantes demeures, entre la publicité du souvenir et la nostalgie programmable, entre moi et lui, humblement je lui parlerais de 1956 en naviguant entre le conte traditionnel et la liste des fauchés, des côtés est et ouest, nord et sud ; s'il n'en fut pas instruit assez copieusement, de la différence qui s'est instituée dans le quotidien entre la transparence et la couleur du sang circulant ou coulant dans cet endroit exact d'être magyar. Je lui dirais ceci :
Quoiqu'il n'en faille pas ignorer les accointances nécessaires, prendre acte que le ... ... ... ... ... ... ... ... ... n'a été que la poursuite infructueuse d'un espoir soumis dans cet arrêt. Jamais mur, restée cloison endurée d'être célébrée dans le pourquoi de la transhumance.Vous avez attendu en faisant, j'ai compris qu'il fallait faire le contraire du contraire.
Le supplément de mort d'où ne rentre pas et ne sort pas, et usée ma patience rapide. Je vais attendre Pétöfi * à la gare périphérique. J'embrasserais ses mains lourdes de terre de tombe, lui cracherais dessus affectueusement pour ses écrits morveux, quand bien même j'aimerais partager avec lui un rapide verre de liqueur de cerise. Je l'informerais des séparations entre les totalitaires et les fascistes, entre les humanistes et les progressistes, entre les historiens et les présents-contemporains-présent, entre les répondants à la valeur de quoi et les silencieux à bruyantes demeures, entre la publicité du souvenir et la nostalgie programmable, entre moi et lui, humblement je lui parlerais de 1956 en naviguant entre le conte traditionnel et la liste des fauchés, des côtés est et ouest, nord et sud ; s'il n'en fut pas instruit assez copieusement, de la différence qui s'est instituée dans le quotidien entre la transparence et la couleur du sang circulant ou coulant dans cet endroit exact d'être magyar. Je lui dirais ceci :
Quoiqu'il n'en faille pas ignorer les accointances nécessaires, prendre acte que le ... ... ... ... ... ... ... ... ... n'a été que la poursuite infructueuse d'un espoir soumis dans cet arrêt. Jamais mur, restée cloison endurée d'être célébrée dans le pourquoi de la transhumance.Vous avez attendu en faisant, j'ai compris qu'il fallait faire le contraire du contraire.
* Petöfi S·ndor (1823-1849). M·r hÛ takar· el a bérci tetöt. La neige au loin sur la cime sonne l'alerte.